Mes Fans Fictions

Bon tout est dit, je posterais ici toutes mes fans fictions
Donc:

Chapitre3: Disparition et extermination. Martin, à genoux devant le soldat mort reconnaissait là l'un de ses anciens amis en formation, la tristesse qui lui malmenait le coeur n'était rien comparé à sa rage à ce moment. Il se releva et voulut sortir du hangar quand soudain dans le haut parleur: -Alerte, les quartiers du sergent Cry sont attaqué, Alerte ! -Bordel, jura Martin. Il courut droit dans les couloirs, fonçant entre les compartiments en direction du bureau de son supérieur, toutes armes dehors les marines qu'il croisait sur son passage était loin de l'égaler en vitesse, en pensée il se répétait « pas Max, pas Max, surtout pas Max !» Il atteint finalement le bureau, la porte étant vérouillée il dut attendre les autres soldats, équipés pour défoncer les portes. Quand ce fut fait ils débouchèrent en hurlant dans la pièce. Le corp dépecé du sergent était pendu au plafond par les pieds. Il n'y avait aucune trace de Max, une grille d'aération avait été maladroitement rattaché au mur, d'un coup de pied, Martin la fit retomber et s'élançà à l'intérieur du conduit, aucune trace de sang. Il arriva finalement à une intersection, il s'appretait à rebrousser chamin quand il regarda par hasard au dessus de lui. Max avait lui aussi été pendu au plafond. -Max ? MAX T'ENTENDS ? Le corps remua légerement, soudain quelque chose tomba au sol, près de Martin, une sorte d'énorme araignée au pattes palmée et à la longue queue entortillée, elle tenta de se jeter sur le jeune marines mais celui ci avait déjà tiré de son fusil une cartouche qui l'avait étteint en plein centre. Un liquide jaunâtre gicla autour de la créature, le conduit fondit et la créature tomba dans une pièce inférieure, une salle du laboratoire, elle rata de peu le crane d'un des scientifiques, alerté les hommes regardèrent le trou au plafond et virent Martin. Aussitôt il cachèrent de sa vue un objet posé sur une table, Martin put juste voir qu'il s'agissait d'un long morceau de métal travaillé. -Que faites vous cic marines ? Lançà apparement le chef des hommes. -J'ai trouvé cette bestiole dans le conduit et son sang à grillé votre..., il sourit en disant cela, paroi ultra sécurisée. Et apparement il à pas fini. En effet le sol continuait de fondre, à une allure bien plus lente cependant. -Il va traverser la co... -Non, coupa Martin au scientifique) on est au 13ème niveau, bien que cela porte malheur à ce qu'on dit il y à très peu de chance qu'il atteigne le fond si il ralentit comme çà, le sol fond en 2 minutes et le plafond à prit 5 secondes. Martin rebroussa chemin, intrigué qu'on lui ait si vivement caché le morceau de metal gravé. Il retrouva Max. -Dit tu m'entends mon pote ? -Ouais, çà va à peu près, j'ai l'impression d'avoir bouffé une limace avant de me faire écrasé par un éléphant et embarqué par un gorille mais sinon tout baigne, à part que je commence à avoir mal au crane en étant la tète à l'envers. -Attrape, il lançà son couteau. -Merci, mais euh... -Je te rattraperai, en plus c'est pas deux mètres de haut qui vont te tuer toi. -OK, il coupa ses liens et s'écrasa au sol tandis que Martin hurlait de rire. -Espece de sale pourri, dit Max en souriant. -La ferme, répondit Martin lui aussi souriant, t'as même pas eu mal, ou en tout cas tu as rien dit. -C'est pas pareil. Ils rentrèrent dans le bureau où ils découvrirent le corp de Cry sur le sol. -Tu te rappelles de quelque chose ? Demanda Martin. -Un peu, j'ai vu Cry s'élever dans les airs, deux sortes de... Griffes transparentes plantés dans le ventre, juste après un truc, une main énorme je crois, m'à agripper la tète et à tenter de m'étouffer, ensuite je me suis réveillé la tète en bas. -Des griffes transparentes ? -Bah, je voyais le sang posé dessus, mais les griffes était comme faites d'eau, je voyais a travers et c'était très flou. -Sino tu parlais de quoi tout à l'heure par, il à fondu le plafond. -Oh, une araignée géante est tombé de ton corps, peut ètre cette bestiole qui t'à chopé la tronche, je lui ai tiré dans la tronche et son sang à fondu le plafond, il est tombé dans un labo «sous haute sécurité» et à continuer de fondre le sol. -Peut ètre, faut que j'aille dormir, on verra çà plus tard tu veux ? -Ouais moi aussi. Ils retournèrent vers leurs chambres, et dormirent durant près de tris heures, enfin Martin se réveilla et rejoint le pont du vaisseau, il croisa un soldat qui lançà: -T'aurais pas vu Max par hasard ? -Il est pas arrivé, pourtant il ne répondait pas dans sa chambre, attends je vais voir s'il ne dort pas encore. -OK, merci. Martin revint donc près de la chambre de Max, et frappa à la porte, personne ne répondait, il entra pour ètre sûr qu'il n'était pas là. La chambre assez petite était plutot jolie, bien décoré, les murs avec des posters de l'époque semblait ceux d'un adolescent. le lit lui, couvert de sang abritait le corp déchiqueté au torse de Max Well. Chapitre4: Cauchemar -Bien, Martin allez vous reposer, dit le général à Martin. Cela faisait trois heures que le corp de Max avait été découvert, apparement quelque chose lui était sorti du torse en détruisant sa cage thoracique, il était mort de souffrance. Martin avait du attendre dans une salle sécurisée que l'on examine le corp. -Bien ? Commençà bien ? Comment pouvez ne serait ce qu'une seconde vous écouter parler ? Général ! Martin regardait son supérieur furieusement. -C'est votre faute s'il est mort, à cause de vous et des magouilles scientifiques de la W.Y. Martin approcha et arracha son insigne de marines de son épaule, il la plaqua contre le visage de son ex-supérieur et partit dans sa chambre. Il s'enferma et déplaçà sa plus grosse armoire devant la porte, il se retourna et ferma sa fenètre et la barricada également, dès que le prochain transport viendrait, il quitterait cet enfer, et n'y retournerais jamais. L'obscurité regnait à présent dans la chambre, le rythme effréné de son coeur se calmait tout juste. Il s'allongea et dormit 12 heures de plus. Un grand fracas réveilla brusquement Martin et le tira de ses cauchemars, l'obscurité le surprit, un grand bruit l'avait réveillé, il en était sûr, mais quoi ? Il glissa lentement sa main vers sa table de nuit, légerement révulsé à l'idée de tatonner dans le vide sans savoir où on posait ses doigts. Une musique explosa alors dans ses tympans, il avait activé son réveil, il l'éteint rapidement. Son coeur, il n'entendait plus que çà, le moindre frottement de ses vètements sur sa peau le faisait sursauté, il atteint un cylindre en plastique, une lampe torche, l'empoigna et sursauta encore une fois, un autre bruit, plus furtif, plus déterminé et plus intelligent. Il alluma sa lampe, effrayé à l'idée de réveler ainsi sa position. Le faisceau lumineu le laissa aveugle quelques instants, il positionnait la lumière de façon à ne pas laisser voir son visage, il tourna lentement le rayon et tomba sur une grille d'aération, elle avait fondu. Martin voulut pousser un cri, mais sa terreur et sa logique l'en empéchèrent, s'il criait il alertait tout le monde, et de toute façon rien n'aurait put sortir de sa gorge. Il entendit alors, en s'habituant au silence presque parfait, un léger grattement, agaçant mais surtout terrifiant, il tourna encore lentement le rayon et tomba sur une monstrueuse araignée jaune, énorme, elle grattait la porte à l'aide de ses pattes avant, ellese retourna vivement et bondit, Martin roula de son lit et tomba au sol, la créature était déjà au bord de celui ci et fonçait vers son visage, le jeune homme se retourna et une sorte de longue queue lui agrippa le coup, de fines pattes tenaient sa tète et un tube visqueux tentait d'entrer dans sa bouche, mais a bète était à l'arrière de son crane, Martin se dégagea difficilement de l'étreinte de l'araignée, il la tenait fermement, s'il lachait l'une ou l'autre de ses mains elle ne le raterait pas, s'il lachait les deux elle tomberait mais reviendrait aussi vite. Il réflechissait rapidement car la peau dégoulinante de l'abominable monstre glissait entre ses mains. Il jeta alors la bète dans le fond de sa chambre, empoigna son fusil à pompe et pointa le canon vers le monstre, trop tard... Elle avait déjà sauté. Mais la créature se receptionna sur le canon de l'arme, sa queue l'enroula fermement, ses pattes gesticulait et le tube s'enfonçait dans le canon. Martin salua cette chance et tira trois fois, dès le premier coup, une giclée d'acide vola à l'extrémitée de son arme, l'araignée tomba au sol et Martin bondit hors de sa chambre. Il ferma la porte, respirant très rapidement, les couloirs étaient étrangements vide à cet heure là, haletant il rouvrit lentement, un trou sombre se dessinait là où le face-hugger était tombé, Martin approcha et vit alors l'une des calles du niveau inférieurs, il descendit dedans, à l'intérieur il faisait presque aussi sombre que dans sa chambre. Le sol et les murs emblaient couverts d'une substance spongieuse et visqueuse, une sécretion liquide dégoulinait par filet du plafond, formant une couche collante sur le sol, il faisait chaud, très chaud même. Martin marchait lentement au milieu de blocs ovales posés sur le sol, il arriva devant un mur, apprement il s'gissait d'une pièce sans issue, mis à part les nombreuses grilles d'aération qui avaient été détruite, mais un homme n'aurait pas put y passer, seul quelque chose de la taille d'un chien pouvait traverser ces conduits, la seule issue était donc le trou de sa chambre. Il se préparait à repartir en courant quand un bruit attira son attention, une sorte de sucion répugnante. Il approcha dans l'obscurité et alluma sa lampe torche, devant lui une énorme créature était fixée dans un entrelacs de lianes faites de la même matière que les murs. La gigantesque bète poussait de long cris et rales elle se tortillait au dessus d'une longue poche, elle semblait ouloir s'en détacher, Martin hurla et partit en courant, sur son passage les blocs s'ouvraient, et quand il se retourna, d'énormes araignées jaunes jaillissaient de ce qui était en fait des oeufs, le jeune marines empoigna fermemant son fusil et détruisit de quelques tirs une petite dizaine de créatures, la grande créature rugit de colère en voyant le massacre. Martin remonta dans sa chambre et bloqua le passage en renversant son armoire, quelques secondes plus tard il entendit un résonnement, il tourna la tète et son regard tomba avec horreur sur la grille d'aération. Il coucha une chaise devant et la bloqua avec sa lourde table de nuit. Il sortit dans les couloirs et ferma la porte de sa chambre, cette fois il n'y retournerai pas. Martin s'agenouilla au sol, le dos contre sa porte, respirant à une cadence infernale, son coeur battant tout aussi vite. Il se releva et constata une nouvelle fois l'absence de personnel dans les couloirs, il approcha d'une porte avec un horrible pressentiment, il l'ouvrit. A l'intérieur un marines était étendu sur le sol, une araignée au visage. Martin hurla de terreur et fonçà dans les couloirs à toute allure. Il traversait les salles vides et se dirigeait à présent dans les secteurs d'entrainement. Il atteint la porte de l'armurerie, voulu l'ouvrir mais elle était vérouillée. -Qui est là ? beugla une voix. -C'est moi, Martin, du secteur 4k. -Attendez on vérifie. -OK, mais euh... Dépéchez vous ! Martin respirait mieux désormais, il n'était pas seul dans cet enfer. Soudain derrière lui, une porte vola en éclat et, jaillissant des ténèbres, l'abominable monstre qu'il avait rencontré dans les niveaux inférieurs entra dans le couloir. Martin se retourna rapidement, il vit alors la créature, recroquevillée sur elle même pour tenir dans le couloir, qui rampait lentement vers lui. Le soldat brandit son fusil et commençà à tirer ses cartouches à la gueule de la créature, celle ci accélera la cadence, les balles ricochait contre son immense crane, la seule partie d'elle qu'il pouvait pourtant atteindre. La bète n'était plus qu'à environ deux mètres. Il visa alors la gueule, là où la «chair» parressait plus fine, il tira et cette fois une volée de sang acide éclaboussa le mur, le monstre beugla de fureur, et la porte dans le dos de Martin s'ouvrit, il bondit à l'intérieur et, au moment ou l'on refermait la porte, lançà une grenade de l'autre coté. La porte se tordait sous le choc de violent coup, et soudain une redoutable explosion retentit. Les soldats autour de Martin hurlait de joie, Martin lui voulait voir si la créature était réelement morte, il posa son oreille contre le métal tordu, il n'y avait absolument aucun bruit, il tenta d'ouvrir la porte, mais une main puissante retint son bras. -Attends, on doit vérifier quelque chose. Il l'entraina dans une autre pièce et alluma un écran, il tapota la télécommande et soudain une vue de l'éxterieur de Gateway apparu, il reconnu le couloir qu'il venait de traverser, il reliait de grand batiment de la station, mais là, il n'éxistait plus. Un peu plus loin sur Gateway, en plissant les yeux Martin vit la zone du crash du vaisseau extra-terrestre, et encore un peu plus loin... -Non, non pas encore... -Quoi qu'est ce que tu vois, dit l'autre marine. -Tu vois çà là bas, dit il en pointant un index sur le fond de l'écran, ce truc flou là. -Ouais et c'est quoi ? -Un autre vaisseau...

Voilà les deux nouveaux chapitres